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Calogero




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Альбом Calogero


3 (2004)
2004
1.
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7.
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Yalla (Italiano)
. . .


On ne retient pas l'écume
Dans le creux de sa main
On sait la vie se consume
Et il n'en reste rien
D'une bougie qui s'allume
Tu peux encore décider du chemin,
de ton chemin

Crois-tu que tout se résume
Au sel d'entre nos doigts
Quand plus léger qu'une plume
Tu peux guider tes pas
Sans tristesse ni amertume
Avancer, avance puisque tout s'en
va tout s'en va

REFRAIN
Yalla yalla yalla yalla
Elle m'emmène avec elle
Je t'emmène avec moi
Yalla

Tu trouveras le soleil
Dans le coeur des enfants
Sans nulle autre joie pareille
Ni sentiment plus grand
Un mot d'amour à l'oreille
Peu dans chacun réveiller un volcan
pour qui l'entend...

REFRAIN

Tu trouveras le soleil
Dans le coeur des enfants

REFRAIN

Elle m'emmène avec elle
Je t'emmène avec moi
Yalla


. . .


Il en a vu
Tomber des hommes au sud au nord
Il en verra
De toutes les couleurs encore

Il est le même
Que l'on soit d'ici ou d'ailleurs
Il est le coeur de nos problèmes

Mais, tant qu'il bat
Comme le sang dans nos veines
S'il bat
Le combat vaut la peine

S'il s'aime
Qu'il se prive tant
Qu'il bat
C'est pourtant que l'on s'aime

S'il est si lâche
Quand tu l'attaches
Mon amour
Il sera lourd
Si tu me lâches

Mais, tant qu'il bat
Comme le sang dans tes veines
S'il bat
Le combat vaut la peine

S'il s'aime
Qu'il se brise tant
Qu'il bat
C'est pourtant que je t'aime

Il bat
Comme le sang dans nos veines
S'il bat
Le combat vaut la peine
S'il saigne
Qu'il se cogne tant
Qu'il rêve
C'est toujours que l'on s'aime


. . .


Passi:
On ne choisit ni son origine,
ni sa couleur de peau
comme on rêve d'une vie de château
Quand on vit le ghetto
naître l'étau autour du cou comme
Cosette pour Hugo
naître en treillis dans le conflit
et prier le très haut.

Fils du C.O.N.G.O
cette haine j'ai au M.I.C.R.O j'ai l'
poids des mots.
sortir d'en bas,
rêver de déchirer ce tableau fait
d'armes, de larmes,
fait de sang et de sanglots.

Calogero:
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve.

Passi:
Tous les deux de la même dalle.
Et tous les deux déçus.

Calogero:
Je prends mon dernier rêve

Passi:
C'est la sécheresse sur une terre où
l'on n' cesse de semer tristesse
dans les yeux qui n' peuvent pleurer
j'ai beaucoup de rêves lointains.
j' me suis tant rebellé, j'ai bu
beaucoup de baratin et ça m'a trop
saoulé.
Dans la vie y a des tapes au fond et
des tapes à côté, des t'as pas un
euro
ou la tape à l'arrachée, y a l'Etat, les
RMmistes, les " t'as qu'à taffer. "
Si t'es en bas faut cravacher, t'as
qu'à pas lâcher.
T'as pas connu ça toi, l'envie
d'empocher les patates,
être à gauche droite face à la mer loin
des galères.
T'as pas connu ça, l'envie de d' t'en
sortir distribuer des patates des
gauches droites avec un air
patibulaire

Calogero:
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve.

Passi:
Tous deux de la même dalle
Et tous deux déçus

Calogero:
Je prends mon dernier rêve
Face à la mer
C'est toi qui résistes
Face contre terre
Ton nom sur la liste
de tout ton être
Cité à comparaître

Passi:
C'est l'histoire de cette plume qui
s'étouffe dans le goudron,
cette matière grise dont le pays n'a
pas fait acquisition, on se relève,
on repart à fond, on vise le Panthéon,
j'en place une à ceux qui en ont,
qui revent concecration, la dalle la
niaque, je l'ai comme mes potes l'ont.
On veut toucher le ciel étoilé sans
baisser l' pantalon. Trop peu bonnes
fées
et trop de Cendrillon. Calo-Passi 2004
action.

Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve.

Passi:
Tous deux de la même dalle
Et tous deux déçus

Calogero:
Je prends mon dernier rêve.

Passi:
Tous deux de la même dalle
Et tous deux déçus

Calogero:
Je prends mon dernier rêve.

Passi:
On ne choisit ni son origine, ni sa
couleur de peau
comme on rêve d'une vie de château
Quand on vit le ghetto
naître l'étau autour du cou comme
Cosette pour Hugo
naître en treillis dans le conflit et prier
le très haut.
Fils du C.O.N.G.O cette haine j'ai au
M.I.C.R.O j'ai l'poids des mots.
sortir d'en bas, rêver de déchirer ce
tableau fait d'armes, de larmes,
fait de sang et de sanglots.
Face à la mer
On veut tous grandir
Calo-Passi trop jeunes pour mourir.


. . .


Il suffirait simplement
Qu'il m'appelle
Qu'il m'appelle
D'où vient ma vie
Certainement pas du ciel

Lui raconter mon enfance
Son absence
Tous les jours
Comment briser le silence
Qui l'entoure

Aussi vrai que de loin
Je lui parle
J'apprends tout seul
A faire mes armes
Aussi vrai qu' j'arrête pas
D'y penser
Si seulement
Je pouvais lui manquer

Est ce qu'il va me faire un signe
Manquer d'amour
N'est pas un crime
J'ai qu'une prière à lui adresser
Si seulement
Je pouvais lui manquer

Je vous dirais simplement
Qu'à part ça
Tout va bien
A part d'un père
Je ne manque de rien
Je vis dans un autre monde
Je m'accroche tous les jours
Je briserai le silence
Qui m'entoure

Aussi vrai que de loin
Je lui parle
J'apprends tout seul
A faire mes armes
Aussi vrai qu' j'arrête pas
D'y penser
Si seulement
Je pouvais lui manquer

Est ce qu'il va me faire un signe
Manquer d'un père
N'est pas un crime
J'ai qu'une prière à lui adresser
Si seulement
Je pouvais lui manquer


. . .


Qui parlait
De lumière des villes
Comme un paradis
En bout de plage
Une terre d'accueil
A son exil
Alors que je marche sur des trottoirs
Parsemés de sacs de couchage

Qui parlait
De longs fleuves tranquilles
Alors qu'il n'y a
Que des virages
Qu' Yang Tsé Kiang
Au bord du Nil
Moi je n'ai rien vu
De tout cela
Peut-être par manque de courage

Je n'entends rien
Je ne vois personne
Que touche au moins

Qui parlait
De se tenir droit
Alors qu'on se courbe
D'avantage
Du Siam
A la vallée des Rois
C'est toujours nos dos qui se
voûtent
Sous le joug d'un autre esclavage

Je n'entends rien
Je ne vois personne
Y a-t-il quelqu'un
Qui regarde au moins

Qui parlait
De croire en l'amour
N'a pas dû lire
Tous les ouvrages
A moins qu'il ne soit
Aveugle et sourd
Moi je n'ai rien vu
De tout cela
Qui me soulage et m'encourage

Je n'entends rien
Je ne vois personne
Y a-t-il quelqu'un
Qui m'écoute au moins

Je n'entends rien
Je ne vois personne
Y a-t-il quelqu'un
Que ça touche au moins
Au moins
Qui parlait


. . .


C'est comme tu veux
Si tu penses que tu dois t'en aller
Que tu n'as plus rien à faire ici
Qu'on a plus rien à partager
Qu'on s'est tout dit

C'est comme tu veux
Si tu crois que la vie t'attend ailleurs
Qu'elle sera pour toi là-bas meilleure
Qu'on a plus rien à se donner
Qu'il faut changer

Alors fais comme tu veux
Comme tu le sens
Fais comme tu penses que c'est le
mieux.
Comme si c'était pas important
Fais comme tu veux

C'est comme tu veux
Si tu crois qu'il faut se séparer
Et que l'on a plus rien à faire
ensemble
Que le passé c'est le passé
Qu'il me ressemble

Alors fais comme tu veux
Comme tu le sens
Fais comme tu penses que c'est le
mieux.
Comme tu l'entends
Fais comme si
Comme si c'était pas important
Comme tu veux


. . .


Des poussières de bruit au fond de
nos silences.
Au milieu de la foule la peur de
l'absence
Les dieux ont leurs dimanches,
Les amours leurs manquent
Comme tu me manques

Des foyers sans feu où glisse ma
brûlure
Au milieu des croyances se fond
l'imposture
Les hommes prennent leur revanche,
le doute
Leur ressemblance
Il nous ressemble

Je n'ai que nous à vivre
A revivre
Plus je le fais plus je me sens le droit
De te suivre
Plus je le sais et plus je te veux

Des sentiers battus où se perd le
chemin
Au milieu de nulle part c'est toi qui
me viens
Je te prends la main comme on prend
le large
On s'engage

Je n'ai que nous à vivre
Pour survivre
Plus je le sais plus je me sens le droit
De revivre
A contre destin l'envers des adieux

Je n'ai que nous à vivre/A revivre
Plus je le fais plus je me sens le droit
De te suivre
Plus je le sais et plus je te veux

Je n'ai que nous à vivre
Pour survivre
Plus je le sais plus je me sens le droit
De revivre
A contre destin l'envers des adieux
Plus je le sais et plus je te veux
Plus je le sais et plus je te veux


. . .


Rouler les yeux fermer
Et ne plus rien penser
Du ciel en enfer
On se laissera glisser
Rouler vers les vallées
C'est beau la liberté
Puisqu'on peut rien en faire
Allez vas-y accélère

C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter
C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait

Rouler les yeux fermer
Plus besoin de parler
Comme tu es mon amie
Sur la terre endormie
Pour se faire oublier
On doit partir léger
Aussi loin qu'on espère
Allez vas-y accélère

C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter
C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait

Rien pour nous arrêter
C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter

C'est un jour parfait
Juste un jour parfait


. . .


Et puisque les hommes endormis
Ne font pas de mal à leurs ennemis
Vienne oh que vienne la nuit

Et puisque les hommes allongés
Ne lèveront ni le poing ni l'armée
Vienne oh que vienne la nuit

Vienne la nuit des temps
Vienne le temps des nuits
Vienne enfin le camp
Des hommes endormis

Vienne la nuit devant
Vienne devant la nuit
Vienne enfin le temps
Des hommes endormis

Et puisque les hommes
Dans leurs rêves
Font de l'amour un soleil qui se lève
Vienne oh que vienne la nuit

Et puisque les hommes
Qui sommeillent
Sont tous un peu frêle
Un peu tous pareil
Vienne oh que vienne la nuit

Vienne la nuit des temps
Vienne le temps des nuits
Vienne enfin le camp
Des hommes endormis

Vienne la nuit devant
Vienne devant la nuit
Vienne enfin le temps
Des hommes endormis

Vienne enfin le temps des hommes
Des hommes endormis


. . .


Si tu me vois rougir.
Commencer à grandir.
Dans la montée des sens
Je compte sur ta présence

Mais attends les préambules
Pour sortir de ta bulle.
Je te préviendrai d'avance
Quand viendra ta chance

CHORUS
Prêt pour le voyage
Safe sex.
Même s'il n'y a rien qui presse
Prêt pour le voyage
Safe sex.
Juste ce qu'il faut de paresse
Laisse toi aller au plaisir
Pour un aller sans revenir
Prêt pour le voyage
Safe sex.
Même s'il n'y a rien qui presse

Il faut tenir le coup
Eviter les remous
Dans la montée des sens
Fais preuve de patience

Tu auras le premier rôle
Si tu perds pas le contrôle.
Sur la rampe de lancement
Je te dirai l'instant

CHORUS

Tu auras le premier rôle
Si tu perds pas le contrôle

Prêt pour le voyage
Prêt pour le voyage

CHORUS


. . .


Reste encore un peu
C'est si rare de se plaire
Laisse moi me défaire de toi
Reste encore un peu
C'est rare d'être amoureux
Laisse-moi profiter de ça

On finira bien par se reconnaître
Dans le moindre de nos gestes
On finira bien par s'apercevoir
Qu'on est fait l'un pour l'autre
Et tu ne peux rien y faire

Reste encore un peu
C'est si rare de se plaire
Laisse moi profiter de ça

On finira bien par s'abandonner
Il suffit de laisser faire
On finira bien par se l'avouer
On est fait l'un pour l'autre
Ne me dis pas le contraire

On finira bien par se souvenir
De notre premier départ
Tout finira bien, je te le promets
On est fait l'un pour l'autre
Et je me dis que c'est rare
C'est rare, c'est rare, c'est rare ....

Et je me dis que c'est rare
Laisse moi profiter de toi


. . .


Tu t'es invitée
Ne demande jamais pardon
Quelle belle arrivée
J'ai trouvé le temps long
Et te voila en face de moi
Ça fait des mois que j'attends ça
Voir ce regard indispensable
Qui me connaît
Qui m'aime quand même
Mon amour
Bienvenue
L'amour t'a porté
Tu vas porter mon nom
Je caresse un rêve
Et j'y crois pour de bons
Il nous en reste
Et c'est tant mieux
Du temps des gestes et des adieux
Et ce regard indéchiffrable
Qui me connaît
Me veut du bien
Mon amour
Bienvenue


. . .

Yalla (Italiano)

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